L’impossible critique des médias par la gauche – Le cas V. Peillon

L’escapade aura duré presque deux mois. Puis V. Peillon est rentré à la niche. Cette place douillette que les journalistes réservent aux rhéteurs obéissants. On n’abandonne pas la vache sacrée A. Chabot au milieu du marigot de l’identité nationale sans subir les foudres du milieu. On ne demande pas sa démission sans rétorsion draconienne. Piteux, pathétique, le député socialiste V. Peillon regrette ses paroles maladroites. Pour se justifier, il poussera l’affliction jusqu’à prétexter un conseil politique de cuisine de son fils, 13 ans. D’autant plus que cela cache une problématique plus profonde, l’impossibilité de la gauche de gouvernement à échafauder une critique des médias. Navrant.

Un panache dur à avaler

Le geste relève du panache. Certains firent mine de ne pas comprendre. D’autres déplorèrent la forme. Pourtant, planter un débat indigne sur l’identité nationale dans le contexte hexagonal montre simplement de la sagesse. Le service public qui se met au diapason des sujets méphitiques du ministère de l’Immigration et de l’identité nationale. Cela ne mérite pas mieux qu’une chaise vide, voire même un renversement de table. On ne débat pas. Et si possible, on torpille l’entreprise. Telle fut l’incartade de V. Peillon. Deux mois plus tard, il donne une interview sur Public Senat ou il déplore sa maladresse en demandant la tête d’A. Chabot. Il se ridiculise d’autant plus en “euphémisant” de sa prétendue erreur de communication. “J’ai fait ça dans ma cuisine. Mon fils qui a 13 ans est passé. Il m’a dit, tu ne devrais pas mettre ça (la démission d’A. Chabot). C’était mon seul conseiller. Les choses sont artisanales. Je pensais qu’il était surtout bon en football. En fait, il est meilleur que moi en politique”. Il confirme quoi qu’il en soit du piètre contrôle de son image, de ce qu’il dit, et de la manière dont il le dit. L’affaire pliée, V. Peillon passe pour une manche à air de la politique. Un philosophe de gauche don quichotesque. Ce qui arrangerait bien tout le monde.

Difficile exercice de la critique en milieu verrouillé

Pas simple de faire de la critique de médias dans les médias. Encore moins d’utiliser un média comme un miroir grossissant des tares médiatico-politiques d’un pays malade. Comment dénoncer l’indigne, en participant à un débat indigne ? V. Peillon a choisi le coup de communication, la présence par l’absence, l’imposition aux caméras par l’effacement. Quand A. Chabot, le visage ravagé par la haine, annonce que le philosophe lui a fait faux bon, le coup bien qu’éphémère (la suite le prouvera) prend tous son sens et remplace tous les débats possibles. Au lieu d’une relégation en fin de programme, après les siamois de la haine (M. Le Pen et E. besson), il s’impose en trublion du soir. Il déjoue le Spectacle. Celui savamment préparé, qui fabrique le consentement à une idéologie dominante. Une idéologie qui permet de devenir le Président de la France. Un mélange de xénophobie et de ferveur patronale.

Intrinsèquement la télévision véhicule une pensée de droite, celle du néo conservatisme le plus crasseux. Repoussant chacun au fond de son individualité. Le téléspectateur passif reçoit par paquets des décharges d’émotions entrecoupées d’incitation à la débauche consumériste. Au milieu du fatras, de birbes médiacrates, qui font du spectacle politique télévisuel depuis que la télévision existe, tentent de donner corps à un débat. Sous couvert de déontologie journalistique, on organise la démocratie. De telle manière que le spectre des points de vue ne s’éloigne pas d’une pensée dominante. A. Duhamel, A. Chabot, D. Pujadas, C. Imbert, L. Joffrin et tous les imprécateurs du cirque audiovisuel pensent à peu près la même chose à quelques nuances près. Souvent formelles. Ils chantent les mélopées de la réforme, la pédagogie du renoncement et l’intangibilité du système de concurrence.

Le parti socialiste tétanisé

En bon réformateur V. Peillon s’abstient de remettre en cause les fondements du système de marché. Comme ses camarades du PS, il préfère atténuer les douleurs des réformes, des dégâts du renoncement et de la concurrence de tous contre tous. En bon réformateur, V. Peillon devrait (aurait dû) comme ses “amis” du parti socialiste participer au débat organisé par la télévision afin d’apporter une nuance compassionnelle à la thématique dominante. Et quand le philosophe ne le fait pas, qu’il dynamite le projet, ses camarades le regardent se dépêtrer. M. Aubry après cette affaire a rapidement pris ses distances. Les “Royalistes” trop contents de voir l’homme qui a repoussé leur madone en difficulté se sont gaussés sous cape. Aucune voie ne s’est élevée, personne n’a fait front avec le rétif député. Bien au contraire. On a critiqué l’homme, la méthode, on a courbé l’échine face aux promesses de la télévision. Car promesses, il y a. Celles de l’exposition, des lumières, du droit d’exister. Celles d’une campagne qui s’annonce où il faudra être le moins maltraité pour quémander le droit de participer au suffrage suprême.

La gauche de gouvernement s’abstient de critiquer les médias. Intrinsèquement de droite, ils véhiculent la soumission et la domination. La télévision est un cadre hostile aux idées de gauche, à la réflexion et à la causalité. On y pratique plutôt la pensée molle, la conséquence directe, l’image-choc. En terme de débat démocratique, et compte tenu du retard pris dans le martelage sur l’obligation des réformes, il faudrait des mois de remise à plat pour déconstruire ce qui semble être des évidences (trou de la sécurité sociale, taxation des nantis, etc.)

V. Peillon a tenté. Seul. Il s’est ravisé. Claudiquant il est rentré dans le rang. Encore jeune, il compte sur l’oubli d’ A. Duhamel, N. Saint-Criq ou A. Chabot et consorts pour lui donner sa chance. Plus tard. S’il est sage.

Vogelsong – 5 mars 2010 – Paris

46 réflexions sur “L’impossible critique des médias par la gauche – Le cas V. Peillon

  1. « Pas simple de faire de la critique de médias dans les médias. »

    Impossible! Tu as été invité par un média: est-ce que tu as osé cracher dans la soupe? Personne ne le fait!

    Bayrou avait osé, de façon fort télégénique, mais il est vite rentré dans le rang.

    Des gauchistes « ultra durs » ont été invités dans les médias: ils n’ont pas contesté le dispositif. Arlette Laguillier est allée dans des émissions people et Besancenot chez Drucker!

    Je ne sais pas si la télé est de droite, mais TF1, si. C’est d’ailleurs une épine dans le pied de la démocratie.

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  2. Pour t’approuver, BiBi te refile sa Flèche en exclu ( mise en ligne ce samedi 6 mars) sur Vincent :
    VINCENT PEILLON.
    Il s’est jugé très maladroit «d’avoir demandé la démission d’Arlette Chabot ». Au tour d’Arlette d’essuyer ses gros Chabots sur le Paillasson-Peillon.

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  3. Je ne crois pas que Vincent Peillon « rentre dans la rang » lorsqu’il fait son autocritique sur Public Sénat. Je n’ai vu que l’extrait sur Dailymotion, mais il me semble qu’il regrette sur la forme, que sa dénonciation de la « partialité » de France2 dans le débat politique ait été parasité par sa demande de démission d’Arlette Chabot, ce qui ne retranche rien à sa dénonciation sur le fond.

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  4. Je suis tout a fait d’accord avec Emaux.
    C’est extrapoler les propos de Peillon que de dire qu’il se ravise (notamment dans un soucis d’une futur couverture médiatique nécessaire pour son avenir politique).
    Personnellement je vois dans cet aveux une remise en question sur la forme (si rare en politique !) mais nullement sur le fond !
    Évitons donc de monter en épingle une petite info et laissons éventuellement émerger un homme de gauche (sait on jamais : on en aura peut-être besoin plus tard !) au lieu de le descendre à chaque occasion !

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    • Je n’extrapole rien. Il fait un mea culpa en bon et dû forme. Il va aussi loin qu’il le peut sans se vautrer dans le complet ridicule. Se ridiculiser serait aussi se disqualifier. Et son souhait est une requalification.
      En tout cas les hierarques de la médiasphère ont reçu « haut et clair ».

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  5. Avant de monter sur de plus ou moins grands baudets à propos de Peillon, avant de relayer (en l’amplifiant!) quelque chose que l’on peut qualifier d’intox (pour parler poliment), avant il faut aller voir au fait, au réel, au vrai.

    « Buzz » sur les « regrets » de Peillon concernant Chabot : analyse d’une désinformation
    http://antennerelais.canalblog.com/archives/2010/03/03/17108644.html

    Et aussi un commentaire intéressant intitulé « calcul ou pas calcul », par un contributeur anonyme, dans les commentaires du lien ci-dessus.

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  6. Certes, le decorum est très bien planté: « tu es dans le champ mou et décadent de Chabot ou tu restes hors-champ »… Mais concernant Peillon et ce petit extrait vidéo d’une émission à venir balancé par Public Sénat, c’est un peu léger pour en conclure qu’il est rentré dans le champ…

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    • Tu imagines qu’il ne peut pas se flageller intégralement sur sa prestation de Janvier. En langage feutré, entendre, je fais un mea culpa sur la démission, le reste passe avec.

      Tout le monde semble garder la face. Tout le monde a compris.

      Mais on sait bien qui tire les ficelles. V. Peillon a rendu gorge… Du mieux qu’il l’a pu.

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    • « je fais un mea culpa sur la démission, le reste passe avec »
      je n’ai pas l’impression que dans cet extrait Peillon cède sur « le reste », pour le vérifier faut attendre de voir les 47 min diffusées le 17 …
      Sa demande de démission de Chabot n’était pas centrale, « le reste » c’est l’essentiel du coup porté contre le système: ce n’est donc pas se « flagéler » que de concéder son nonos à la Cabot. D’ailleurs à part elle personne ne devrait être dupe.
      Mais s’il est obligé de céder sur ce point, c’est bien à cause de ces défaillances de toute la gauche que vous dénoncez.

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  7. La gauche de gouvernement, c’est aussi le Front de gauche élargi…

    Peillon est vraiment ridicule, il fait même pitié à voir, comme un junky en manque de came, sauf que lui sa came, c’est France 2 et cie.

    A lire d’ailleurs, Mélenchon sur son blog qui revient sur ce rétropédalage d’un des ténors du P »s ».

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  8. Quel gâchis! Mais quel gâchis! Aussi mal ficelé que l’était son coup médiatique sur la forme, il avait touché juste sur le fond! En dynamitant purement et simplement le débat de Lepen/Besson, en obligeant a réagir avec un excès révélateur Aphatie et Duhamel au grand journal – et bien au delà, en obtenant le soutien et la confirmation par @si et Inter qu’il y avait bien récurrence troublante des thèmes Immigration et Identité nationale au sein des débats organisés sur la chaine publique, il avait, certes, payé chèrement de sa personne cette dénonciation sans nuance, mais était parvenu a marquer les esprits, et forcer France 2 a ne plus céder a la tentation burqa/minaret/ID Nationale et Immigration. C’était finalement pas si mal comme bilan, même si je le repete, Peillon avait perdu quelques plumes dans l’opération – perte vraisemblablement compensée par quelques points de bonne ou mauvaise notoriété – il avait appuyé la ou ça fait mal.

    A chaud, quand j’ai vu le passage des « excuses », j’ai réagi comme AntenneRelais : pourquoi cet extrait choisi ? Pourquoi le sortir maintenant alors que le reste de l’ITW ne sera publique qu’a partir du 16 mars ? Pourquoi titrer « le mea culpa de Peillon » alors qu’il exprime uniquement des regrets sur sa demande de démission de Chabot ? Bref, pendant que je me perdais dans la précision de ses déclarations, je laissais de coté l’impact médiatique, forcement plus puissant, d’un homme qui avoue regretter (après avoir été si ferme), qui avoue avoir agi seul (alors qu’il a tjs parlé d’une décision collective, prise avec ses proches) et qui avoue avoir commis une faute politique qu’un enfant de 13 aurait lui même relevé. La question restera : fait il allégeance ? ou est-ce la une nouvelle maladresse médiatique de sa part ? Je ne sais pas, une seule chose est sure : Suite à son mea-culpa, c’est toute la médiacratie qui s’en sort confortée.

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  9. Bof cet article n’apporte rien.

    Si peillon avait été intelligent et stratège, il serait allée à l’émission et il l’aurait quitté en direct en justifiant son acte avec précision devant les téléspectateurs. Voilà ce qu’on appelle faire une critique média. On se rend présent. Etre absent et critiquer hors plateau, c’est juste être pris pour une couille molle. Ce que Peillon est et à toujours été.

    D’ailleurs, le fait qu’il se trouve aujourd’hui en train de dire j’aurais pas du montre à quel point, il s’est planté et aussi à quel point, il est mou.

    Il n’a pas le profil pour exister politiquement de manière pertinente. Il faut savoir être intelligent quand on a les feux braqués sur soi. Lui, n’a pas cet intelligence là.
    Et on n’a pas fini de le découvrir…

    Parece que Peillon essaye d’exister et il n’y arrivera pas. A l’intuition, il ne vaut rien. C’est un homme qui tout au plus doit rester dans l’ombre de quelqu’un. mais il a trop d’ambition et d’ego. Il s’est ramassé pour en vouloir trop, il se ramassera encore.

    Il a posé l’empreinte de sa bêtises. Même Royal est moins bête que lui. Quant à critiquer la télé par la gauche. MDR le mythe. Les bobos de gauche ne regardent pas la télé. Pourquoi la critiqueraient-ils ? Ils ne savent pas le faire. Leurs arguments sont toujours bêtes et insipides.

    Et le pire, c’est que le trois quart des bobos de gauche que je connais quand ils parlent politique, on dirait qu’ils parlent inspirés par un discours TF1?. Ecoutez les haïr le foulard, écoutez-les critiquer Royal. Même mots, même ton, même idéologie. Aucune grille de lecture pertinente. Du consensuel.

    La plupart des gens de gauches d’aujourd’hui sont de droite profonde. Ils l’ignorent. Peillon est idéologiquement de droite, il n’a aucune capacité d’un homme de gauche. Un homme de gauche serait venu sur le plateau quitte à renverser le décors en direct. Les gens de gauche savent faire ça. Pas lui.

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    • Cet article n’apporte rien mais il libère votre plume. C’est déjà pas mal.
      Merci pour ce long commentaire.

      Je souscris d’ailleurs à plusieurs de vos arguments.

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  10. @vogelsong : le geste de rétractation dePeillon m’a profondément déçu. je ne le comprends toujours pas, lui qui m’avait pourtant agréablement surpris… pour une fois.

    Chabot vache sacrée ? Cela va à l’encontre de l’idée que je me fais de la république… mais il est vrai que je suis si naïf… à la différence des vasseur, birenbaum et cons-sorts…

    je ne suis qu’un homme du peuple… au cerveau pas toujorus très disponible;..

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  11. Impeccable. Oui, il a baissé son froc quelles que soient les circonvolutions langagières qu’on veuille dénicher pour prouver que non, en fait, la forme, le fond, blabla…
    Dommage, pour une fois que je trouvais qu’un gars du PS avait des corones…
    mais la pression a dû être maximum et il s’est repenti…
    dans leur grande mansuétude, les granmédia pardonneront sans doute à cette brebis égarée, dont le retour renforce leur mainmise sur toute la classe politique. Gare à celui qui quitte le chemin de la vérité, tracé par ceux qui fabriquent le consentement !

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  12. Peillon montre là autant de courage que Jospin après sa saillie contre Chirac « Vieux usé fatigué » en 2002.

    Manque de couilles pour assumer un propos un peu rugueux et justifié quand la droite, elle, ne se gène jamais pour cogner.

    « Ne dites pas au P.S. qu’il est mort, il se croit dans le coma! ».

    Beurk !

    Zgur

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  13. Le geste initial n »avait aucun panache… et la conclusion est lamentable…
    Après on pourra disserter des heures… c’est l’image qui restera et ce d’autant plus que dès le départ il n’y a rien de glorieux… ne t’en déplaise

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    • Question de point de vue et d’approche sur les médias. Ce qui pratique la politique semble ne pas avoir compris que les tuyaux qui relayaient leurs messages étaient véreux.

      Un coup d’épée dans l’eau, certes. Haro sur V. Peillon. Super.

      Disserter des heures te semble inutile. Pas moi. Dissertons des heures sur le sujet, voyons comment les médias sont téléscripteurs du conservatisme de droite.

      Affirmer de manière péremptoire, avec ou sans a priori partisan que V. Peillon est un nul me semble un peu court. Surtout si on veut avancer.

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      • @ Vogelsong
        « Affirmer de manière péremptoire, avec ou sans a priori partisan que V. Peillon est un nul me semble un peu court. Surtout si on veut avancer. »

        ça c’est une bonne parole.

        L’antienne « tu peux écrire des romans ça ne changera rien au fait que… », qui d’ailleurs revient régulièrement sous les doigts de M. Vasseur, ça me semble pas découler de la meilleure inspiration.
        (dans le même rayon il y a le « quelles que soient les circonvolutions langagières qu’on veuille dénicher pour prouver que non, en fait, la forme, le fond, blabla… » de GDC + haut)

        C’est peut-être ce « twitter » qui tend à rendre les gens amis de la surface et de la simplification (accentuant la tendance à faire du binaire : bien/mal, bon/mauvais, courageux/lâche etc.), je sais pas.

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  14. Mélenchon, actuellement aux prises avec un « buzz », reconnait maintenant son erreur vis à vis de Peillon (certes de façon un peu elliptique) :

    « Je me suis souvenu d’une discussion avec Vincent Peillon à ce sujet. Je l’avais accusé sur ce blog d’avoir reculé et de s’être excusé vis-à-vis de Chabot. Je le faisais sur la foi d’une brève lue dans « Le Monde ». Il me le reprochait. Il me dit qu’il ne s’est nullement excusé et que le journal avait retenu une phrase dans un entretien très long. On voit que les méthodes ne changent pas… »
    http://www.jean-luc-melenchon.fr/2010/04/mince-les-cloches-sont-de-retour/

    J’invite tous ceux qui ici ou ailleurs ont versé dans la même erreur de jugement, à faire acte de contrition.

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    • J’ai vu la séquence. Je ne change pas un mot de ce texte, qui ne contient pas le terme « excuses ».
      Je pense que vous ne l’avez pas lu.

      D’ailleurs il y a une erreur de script dans l’article d’ACRIMED

      Vous avez une fixette, faites du sport…

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  15. Pingback: Variae › Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir une femme journaliste

  16. poème d’amour France, ô ma France très belle, pour ressentir la misere de l’eure loi,une vie de suppression de l’espagne d une vie de tirelire et d’abonnement et d’impôt , la taxe foncière : IMPÔTS LOCAUX , croisé les dossier retraite et impôt d une vie des suppression de l’espagne.pour finire faire les ,poubelle ,le manque a gagner et la ,faux gentil èlu locaux faux frère méchant ,L’Innocent du Village
    Il ne disait jamais rien,
    Il n’entendait jamais rien,il donne sa confiance et son amour.
    Il ne lisait jamais rien,
    Il n’écrivait jamais rien,
    Ne pensait jamais à rien,
    Bref, ne s’occupait de rien.il donne sa confiance et son amour.
    Il ne faisait que travailler
    Des jours et des mois entiers
    Et aller L’Innocent du Village
    Dans le vent en liberté, qui disparaît ,pour faire les poubelle .
    Et personne n’était plus sage ,l’innocent du village
    alor Nous sommes tous ,des innocent du village ,???la flamme du coeure en hommage à la population que je répète
    le véritable l’amoure de la france .
    Le rétablissement de l’ordre , prendre fermement en main la machine administrative et rétablir l’ordre pour les Français la souveraineté populations Bondy 93 la flamme du coeure en hommage à la population que je répète le véritable l’amoure de la France
    je t’aime la france avec c’est difference

    poème d’amour Conseil Général | Mairie ils mon volè ma retraite.

    mon volè ma santè ma joi de vivre mon pouvoir d’achat;

    supprimer l’acquis social .

    des logements sans emploi pour les jeune.

    torturè et conscient ,avec la main et pied attaché juridiquement les èlu font joujou con des enfant gatè et des caprices et la population en subir les conséquence dramatique .

    La portes ouvertes. Racisme de la crise économique. l

    Epate-la-Galerie.la rénovation urbaine égocentrique pour le plaisirs plus grosse salaire plus avantage la fabrique de délinquance.Pour quoi faire Croire qui son son uitille BONDY 93140 je t’aime moi non plus.la décadanse èlu Bien mal acquis ne profite jamais .j’invite la population a dire se qui ne va par dans leure ville . pour leur pouvoire d’achat. pour leure retraite. pour leur qualité de vie. pour leur enfant et avenirs dans la drogue. Enfants de Leurs Villes Qui « trinquent » suite à l’Insuffisance de … Drogues . L’IMPÔT LOCAUX AU SERVICE DES ENFANT;OUVRIR DES ENTREPRISE AVEC UNE BRANCHE PRIVE AVEC DE L’IMPÔT OUVRIR DES ENTREPRISE privè ^ ?AVOIR DES RECETTE?? baisse des impôts remonter les retraite par automatique

    la villes d’espérance de vie les bondynoi étudiées par l’enquête
    Changer l avenue Carnot en zone bleu une aide de solidarité pour le pouvoir d’achat. Et l’épargne retraite améliorer la qualité de vie au domicile. Riverain d’espérance de vie les bondynoi pour avenue Carnot 240 euros t. T. C. A l année. Service publique, suppression des place de stationnement des villes remplacer par quelque paillant, augmenter la pollution en ville on tourne en ron dans un nuage, augmentation des maladie des mor génocides par la pollution en ville on tourne en ron dans un nuage, perte de la famille ; cher amande surendettement, toujours pa d’aire comprimé et de biogaz Bondy 93140. Quelle profiteurs sur les sans garage. À la tête du cliente diversité des riverain tout et possible pour les èlu profiteure. La portes ouvertes. Racisme de la crise èconomique.
    la pollution tu la villes d’espérance de vie les bondynoi étudiées par l’enquête
    OUVRIR DES ENTREPRISE AVEC UNE BRANCHE PRIVE AVEC DE L’IMPÔT OUVRIR DES ENTREPRISE privè ^ ?AVOIR DES RECETTE?? baisse des impôts remonter les retraite par . tu verra.le bon sens est la chose du monde la mieux partagée.avec les recette du travaille des jeune baisse des impôt.Ce sont les élus eux-mêmes qui veul par travailler. … il son en Force contre la populasion .
    (( sans rien faire c’est facile ! (bilan ))

    des jeune en La Force de l’âge sans rien faire°°°°°° c’est facile ! (bilan

    Devenir riche sans rien faire !????????????????? S O S …….SOS …..SOS

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